Sur les réseaux sociaux, des centaines de message de soutien ont fleuri. Chez les personnalités politiques, le ton est le même. Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon, se dit "horrifié par les événements de Nice. Lyon solidaire des Niçois. Plein soutien au Président Christian Estrosi dans ces circonstances tragiques".
"La France endeuillée le soir de sa fête nationale. Nous pleurons tous les victimes de Nice", rajoute Laurent Wauquiez, président de la Région Auvergne Rhône-Alpes.
Le député du Rhône Georges Fenech, à la tête de la commission d'enquête parlementaire sur les attentats du 13 novembre, veut que l'on trouve des solutions : "Tragédie prévisible Il faut agir plus fort et autrement".
Le profil du chauffeur
Jeudi soir, un camion, conduit par un Niçois d'origine tunisienne, a foncé dans la foule, tuant au moins 80 personnes et faisant plus d'une centaine de blessés. Le véhicule était rempli d'armes et de grenades, la plupart factices.
Le chauffeur, connu pour des faits de petite délinquance mais pas fiché S, a été abattu.
Une cellule interministérielle d'aide aux victimes a été ouverte. Et l'état d'urgence a été prolongé de 3 mois.
