Leur point commun ? Elles rentraient seules chez elles.
Leur agresseur tentait alors de les embrasser, leur touchait les parties intimes.
Finalement interpellé le 1er août, ce salarié d’un kebab du 1er arrondissement de Lyon a nié les faits, expliquant avoir passé la soirée avec son épouse à Villeurbanne. Mais cette dernière a confirmé aux enquêteurs qu’il mentait. Elle en a profité ensuite pour quitter Lyon et demander le divorce à son mari.
Identifié par ses victimes et trahi par la vidéosurveillance et son téléphone géolocalisé sur les lieux de ses méfaits, l’homme, un Tunisien dont le titre de séjour expire dans deux mois, sera jugé le 9 septembre. Il restera en détention et devra faire l’objet d’une expertise psychiatrique.
