Le dimanche, le jeune homme doit récupérer les clés mais tout ne se passe pas comme prévu, la porte de l’appartement reste close. La touriste affirme alors, par SMS, qu’elle est à l’hôpital car elle a été agressée dans les parties communes de l’immeuble. Mais selon le voisinage, c’est un litige lié à du proxénétisme qui se serait déroulé dans l’appartement loué.
Une fois chez lui, le jeune homme découvre alors des éléments troublants. Une poignée de porte-fenêtre est cassée, même chose pour une lampe. Pire, des gouttes de sang se trouvent sur le carrelage et une forte odeur de gaz lacrymogène se fait sentir.
La jeune femme avait en effet donné rendez-vous à un client pour offrir ses services sexuels. Lors du rendez-vous, le souteneur était alors caché dans l’une des pièces. Après avoir consommé, le client avait alors demandé un extra que la jeune femme avait refusé mais l’homme s’était énervé. Le proxénète s’était alors chargé de lui en le frappant, le gazant et le dépouillant.
D’origine afghane, le client a été entendu par les policiers. L’escorte avait, dans un premier temps, été placée en garde à vue, mais elle a été relâchée. De son côté, Airbnb a lancé une procédure pour couvrir les dégâts dans l’appartement.