Trois coupures ont été signalées à quelques dizaines de minutes d'intervalles, sur les axes Paris-Lyon, Paris-Strasbourg et Paris-Lille. Orange, SFR et Free seraient principalement touchés, tout comme Bouygues dans une moindre mesure. Des répercussions ont également été répertoriées au niveau international.
L'acte de malveillance est privilégié et a été condamné par les principaux fournisseurs d'accès à internet. "Ces actes engendrent des conséquences préjudiciables pour la vie économique et sociale de notre pays. Ils peuvent impacter des milliers de citoyens et d’entreprises qui ne peuvent plus utiliser le réseau Internet et de téléphonie fixe", a dénoncé la Fédération française des Télécoms.
Une enquête préliminaire a été ouverte après cette vague d'actes de malveillance "d'une ampleur sans précédent visant le réseau national de fibre optique", a annoncé le parquet de Paris ce mercredi soir.