Dans cette étude publiée ce mardi, on apprend que les habitants d'Auvergne-Rhône-Alpes seront les plus touchés par les "anomalies de chaleur" l'été. Ainsi, 68% des habitants de la région devraient connaitre plus de 20 journées anormalement chaudes par été. Soit l'équivalent de trois semaines, sur les douze que compte la saison estivale. La Bourgogne-Franche-Comté et l'Occitanie seront aussi concernées.
Cela se traduira par des journées ou des nuits pour lesquelles la températures maximales (ou minimale pour une nuit) dépassera de cinq degrés la températures maximales ou minimales sur la période de référence, comprise entre 1976 et 2005.
Les habitants de Bretagne, de Corse, de Normandie et de Provence-Alpes-Côte d’Azur seront, eux, moins exposés car le littoral sera moins affecté que l'intérieur des terres, précise l'étude.