L’évènement avait rassemblé près de 3000 personnes dans une friche industrielle. S’en suivra deux nuits de fête clandestine, jusqu’au lundi 1er janvier où des participants étaient toujours présents sur le site. Du côté du cabinet du maire de Givors, « Personne n’a été prévenue », rapporte Le Progrès. Les organisateurs s’étaient rabattus sur les locaux désaffectés de cette entreprise privée après avoir été empêchés de s’installer sur la commune voisine de Chasse-sur-Rhône (Isère) par les gendarmes.
L’évènement avait généré beaucoup de trafic rue de Montrond avec des désagréments et des nuisances sonores particulièrement importants », déplore le maire de Givors, Mohamed Boudjellaba, dans un communiqué.
Le rassemblement s’était achevé dans la journée du lundi « sans incident notoire », indique au Progrès le commandant de police du commissariat de Givors/Grigny, Thierry Rathbeger.
Le propriétaire du site n’a toujours pas déposé plainte. Il devrait être entendu par la police.