L’homme a reconnu s’être livré à la revente d’engins pyrotechniques comme des mortiers d’artifice, des pétards ou des fumigènes depuis un an. Selon le parquet de Lyon, il se servait des réseaux sociaux pour trouver des clients et écouler son impressionnant stock. Les enquêteurs ont retrouvé le box où il réalisait ses ventes : il renfermait 112 000 engins de toutes sortes au moment de sa perquisition.
Lors de son audition, l’homme a déclaré avoir généré un bénéfice de 10 000 euros depuis juin 2020 grâce à son trafic.
Il sera déféré mercredi au parquet du tribunal judiciaire de Lyon en vue de sa mise en examen pour détention, mise en vente d’articles pyrotechniques et travail dissimulé. Il sera ensuite jugé en comparution immédiate jeudi après-midi.