Ces deux activistes de Riposte Alimentaire, qui avaient jeté de la soupe le 10 février dernier sur un tableau de Claude Monet (Le Printemps) au Musée des Beaux-Arts, avait été relaxé en première instance.
Mais le parquet de Lyon avait fait appel de cette décision avec au bout un nouveau procès ce mardi après-midi.
Le parquet a cette fois-ci requis deux amendes dont le montant couvre la note des frais de restauration du cadre du tableau. Soit 2000 euros au titre de la dégradation et 200 euros pour avoir refusé de se soumettre au prélèvement ADN dans le cadre de leur garde à vue.
La décision tombera le 14 janvier prochain.