Que l'on apprécie son style ou non, les chiffres sont sans appel : Aya Nakamura est aujourd’hui l'une des artistes françaises les plus influentes, aussi bien en France qu’à l’international. Que ce soit à chaque album, lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques ou encore sur les podiums des défilés de mode, elle capte l’attention et suscite l’engouement. Son immense popularité repose en grande partie sur ses tubes incontournables, qui séduisent particulièrement la jeunesse. L’un des plus emblématiques, "Djadja", vient d’atteindre le cap symbolique du milliard de vues sur YouTube.
Sans détour, "Djadja" est le plus grand succès de sa carrière. Ce titre rejoint le cercle restreint des chansons francophones ayant dépassé cette barre mythique sur YouTube, aux côtés de "Papaoutai" de Stromae, "Ego" de Willy William, et "Dernière Danse" d’Indila. À titre de comparaison, le titre le plus visionné de Céline Dion sur la plateforme, "I'm Alive" (en anglais de surcroît), plafonne à 575 millions de vues, soit à peine la moitié du score de "Djadja".
Le tube est sorti au début de l'année 2018, comme single, pour annoncer son album "Nakamura" qui a été certifié disque de diamant en France. Le single "Djadja", quant à lui, s'est exporté un peu partout dans le monde, d'abord dans toute la francophonie (Québec, Afrique), puis bien plus loin, dans toute l'Europe non francophone, et jusqu'aux Etats-Unis ou en Amérique du Sud.
Un single qui aura été certifié diamant dans plusieurs pays du monde, preuve que la chanteuse est vraiment celle qui s'exporte le mieux dans la nouvelle génération d'artistes francophones, loin devant Stromae ou d'autres grandes stars. Félicitations à Aya Nakamura, qui a sûrement bénéficié de "l'effet Jeux Olympiques" entraînant une explosion de sa popularité, après un show marquant devant les yeux du monde entier.
